Ce volume forme avec Paradisiaques un diptyque. Sordidissimes est consacré à l'objet sale et sacré, originaire et voilé, malodorant et contagieux, indigne et précieux. Ce sont les habits de deuil qu'on appelait ainsi à Rome, c'est le sexe masculin voilé qu'on dévoile au cours des mystères, ce sont toutes ces reliques, miroboles, tous ces secrets que rassemblent cet ouvrage.